Au bonheur de la parentalité Cette année, Audrey et moi avons eu le bonheur de découvrir la parentalité. Le 4 avril naissait notre petit Antoine, petit dernier de la famille Cochet. Antoine Jean Francis pour être complet, en hommage à mon formidable oncle Jeannot que j’embrasse si fort ; en hommage également à Francis, l’oncle d’Audrey, également décédé, qui fut aussi aimé et chéri par sa famille. Mais comme tous les enfants, Antoine n’échappe pas au florilège de surnoms que nous lui attribuons tous les jours. Vous y aurez droit tout au long de ce texte.
Ce que je constate avec plaisir c’est que le temps ne passe pas aussi vite que j’aurais pu le penser, du moins pour l’instant. Audrey et moi avons la sensation d’avoir pu profiter tous les jours de la présence d’Antoine depuis sa naissance. Nous jouons avec lui, chantons pour lui, lui lisons des livres et l’éduquons au monde qui l’entoure. Et à travers lui nous en apprenons un peu plus sur nous-même. Nous pouvons mieux nous projeter dans les histoires que nos parents racontaient de nous lorsque nous étions bébés et comprendre leur prisme de perception. Lorsque je vois Antoine dès 6h du matin debout dans son lit accroché aux barreaux, les yeux grands ouverts et l’énergie débordante, je me vois à New York réclamant à manger à ma mère : “Mama cereais ! Mama cereais !”. Maintenant qu’Audrey et moi avons montré la voie, d’autres amis vont bientôt se mettre au travail et avoir leurs enfants. J’ai hâte de voir toute cette petite tribu arriver et courir partout. J’ai hâte de pouvoir les admirer grandir et jouer, je l’espère, tous ensemble. Mais pour le moment j’ai surtout hâte de vous retrouver tous, ma très chère famille Cochet, pour fêter tous ensemble Noël avec le dernier membre de la famille dont ce sont les premières fêtes !
Nous nous délectons de chaque moment de vie passé avec notre petit bout de chou. Ses gazouillis, ses explorations en rampant, ses premiers balbutiants, son insatiable curiosité du monde sont un régal à observer chaque jour. Depuis qu’il est dans le ventre de sa mère, ce petit bonhomme ne cherche qu’à bouger pour pouvoir tout voir, tout toucher, et bien entendu tout goûter.Toutes ces expériences amènent leur lot de bleus sur le corps et de maladie. Alors nous consultons le médecin plus régulièrement. C’est le rôle de parent qui rentre, et les responsabilités qui vont avec, responsabilités que nous assumons, je trouve, très bien avec Audrey. L’arrivée d’un enfant amène naturellement son lot de questions : questions sur l’éducation, sur l’organisation, sur la gestion du quotidien de l’enfant. Toutes ces questions pourraient facilement créer de l’angoisse, mais il n’en a rien été. Grâce à une très bonne préparation en amont (je remercie toutes les sage- femmes qui nous ont accompagnées dans l’aventure prénatale) et surtout l’équipe soudée que nous avons formée avec Audrey depuis toujours, cette transition de couple à parents s’est faite tout à fait naturellement. Antoine y est aussi pour quelque chose car il faut le dire, il a été jusqu’à présent un petit garçon absolument charmant (ne me fais pas mentir s’il te plaît Antoine).
Edito Edito
Nous Nous
Babeth Babeth
Régis Régis
Bruno Bruno
Alicia Alicia
Adrien Adrien
Pierre Pierre
Antoine Antoine
Voeux Voeux