hacun sait que je ne suis pas un fanatique des anniversaires. Nous avons donc célébré cela sobrement au Portugal en compagnie de Mylène et de Bruno.
Début septembre, après une belle journée passée en famille, nous sommes parti en croisière.
Eh
oui,
en
croisière
!
Babeth
en
rêvait
depuis
longtemps,
mais
vraiment
depuis
longtemps,
seulement
voilà,
je
n’ai
pas
ni
le
pied
ni
l’âme
d’un
marin,
et
une
expérience
jadis
avec
des
amis
ne
m’a
pas
révélé
les
joies
que
certains
tirent
d’un
séjour
sur
l’eau,
surtout
que
nous
avons
essuyé
une
tempête
force
9
entre
la
Corse
et
la
Sardaigne
qui
ne
m’a
pas
vraiment
enthousiasmé.
Rester
bloqué
3
jours
dans
un
port,
amarré
au
quai
de
la
pompe
à
essence
faute
de
mieux,
toutes
les
places
étant
prises,
ne
permet
rien
d’autre
que
quelques
déjeuners,
fort
sympathique
au
demeurant,
et
quelques
moments
dans
les
bistrots
du
coin
en
attendant
que
la
tempête se calme.
Mais
la,
c’est
décidé,
nous
partons
de
Venise
pour
voguer
vers
la
Grèce
sur
un
très
gros
navire,
le
Costa
Fascinosa,
un
bateau
ultra
moderne,
tout
juste
mis
à
l’eau
en
mai.
Que
dire
?
Le
bateau
en
lui-même
est
superbe,
avec
ses
290
mètres
de
long
et
sa
jauge
de
144.000
tonneaux.
Un
monstre
des
mers
capable
d’accueillir
3800
passagers
servis
par
1.500
membres
d’équipage,
le
tout
réparti
sur
douze
ponts.
L’organisation
est
remarquable,
l’embarquement
se
faisant
très
rapidement
sans
que
l’on ait à s’occuper des bagages que l’on retrouve dans sa cabine après les avoir laissé dans le hall d’embarquement.
Chacun
est
muni
d’une
carte
magnétique
avec
toutes
les
informations
le
concernant,
photo
incluse
de
façon
à
pouvoir
contrôler
parfaitement
les
mouvements
des
passagers
aux
escales,
et
faisant
office
de
carte
de
crédit
pour
les
dépenses
à
bord.
Les
tables
de
restaurant
sont
organisées
en
fonction
de
la
nationalité
et,
je
l’ai
appris
plus
tard,
en
fonction
du
niveau
universitaire
!
(
Encore
des
informations
qui
se
promènent
dans
la
nature
à
votre
insu,
j’aime
!).
Coté
organisation, du grand art.
Et
les
cabines,
me
demanderez
vous.
Très
bien,
spacieuses,
la
literie
impeccable,
la
salle
de
bain
très
bien
équipée, le balcon sur la mer très sympa.
Que
peut-on
faire
à
bord
?
D’abord
boire,
il
y
a
six
bars
avec
des
ambiances
totalement
différente,
un
casino
(grand)
une
boite
de
nuit,
un
théatre
sur
trois
étages,
deux
piscines,
deux
spa,
salle
de
sport,
jeux
pour
enfants,
cinéma,
quatre
restaurants,
une
galerie
marchande,
etc..
car
je
dois
bien
oublier
quelque
chose.
Une
vrai ville flottante aux installations superbes.
Justement,
c’est
là
où
le
bât
blesse.
Beaucoup
trop
de
monde.
Ce
n’est
pas
vraiment
la
bousculade,
mais,
sans
vouloir
être
désagréable
pour
nos
amis
transalpins,
2.500
italiens
à
bord,
c’est
la
certitude
d’un
niveau
sonore
particulièrement élevé dans les parties communes et d’une ribambelle de marmots courant dans tous les sens.
Autre
points
négatifs
du
moins
vu
de
notre
côté,
les
escales
sont
beaucoup
trop
courte
pour
une
visite
un
peu
approfondie
et
une
suppression
courante
des
excursions
à
caractère
culturel
les
plus
intéressantes
à
nos
yeux.
Qui
voudrait
profiter
d’un
passage
à
Santorin
pour
visiter
de
superbes
église
orthodoxes
et
leurs icônes célèbres ? Une escapade sur la plage est tellement plus agréable.
En
résumé,
le
bilan
n’est
pas
totalement
négatif.
Organisation
impeccable,
hôtellerie
de
qualité.
Les
excusions
sont
à
revoir
et
il
ya
trop
de
monde.
Expérience
très
mitigée.
Peut-être
la
retenterons-nous
dans
le
cadre
d’une
croisière
à
thème
sur
un
beau
bateau,
mais
sans
trop
de
monde
à
bord,
quoique
dans le cadre d’un thème de voyage il y a de très fortes chances pour que tous les passagers partagent les même envies.
J’ai
quand
même
fait
quelques
prises
de
vues,
mais
sans
grand
enthousiasme,
car
pour
tout
vous
dire,
j’ai
déclaré
un
magnifique
zona
sur
le
cou
et
le
crane,
ce qui n’est pas des plus jouissif !
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