Au
cours
de
cet
été,
Régis
et
Liese,
ou
bien
l’inverse,
me
disent
qu’ils
voulaient
fêter
le
soixante-dixième anniversaire de leur mère.
Mais il y avait quelques conditions à remplir :
qu’elle ne se doute de rien
que la date soit à peu près respectée
que
ses
frères
et
sa
soeur
soient
disponibles
(hélas
il
manqua
Jean-Philippe
et
Brigitte)
que les travaux de peinture que je devais faire ne sois pas commencés
que le traiteur soit libre
Les
enfants
ont
mené
tout
cela
de
main
de
maître,
me
faisant
passer
par
la
même
occasion
dans
une
nouvelle
catégorie,
celle
des
parents
que
les
enfants
déchargent
de
soucis.
J’en
ai
donc
profité
pour
apprendre
à
passer
tranquillement
la
main,
ce
qui
me
semblait
pourtant
hors de question il y a peu. Mais comment résister à une pression tellement gentille ?
Donc
le
jour
J
venu,
j’ai
pris
Babeth
par
le
bras
direction
Lyon
pour
effectuer
quelques
courses
pour
elle.
Une
femme
normalement
constituée
ne
peux
pas
refuser,
laissant
ainsi
le
champ
libre
aux
enfants
pour
investir
les
lieux,
dresser
les
tables,
réceptionner
le
traiteur,
recevoir leurs oncles et tantes, en un mot tout faire.
J’ai
également
préparé
un
petit
montage
vidéo
de
quelques
minutes
pour
rafraichir
la
mémoire de Babeth, que vous pouvez visionner sur l’écran à droite. Ah les souvenirs !
La
journée
a
bien
sur
aussi
été
immortalisée
(le
mot
est
quand
même
un
peu
fort,
disons
plutôt
mise
en
images)
d’une
part,
par
Liese
qui
a
ensuite
offert
à
sa
belle
mère
un
superbe
album
très
original
ou
elle
révèle
son
talent,
et
par
mon
frère
qui
a
eu
la
gentillesse
de
tenir
la
caméra.
Vous
trouverez
réunies
sur
un
diaporama
différentes
photos
prises
ce
jour
là
ou
chacun
des
enfants
et
petits
enfants
figurent
séparément
ou
ensemble,
les
occasions
d’être
tous
ensemble étant finalement assez rares.
Merci aux photographes (Liese et Gérard)
Puis,
pour
finir
l’été,
nous
avons
fait
repeindre
la
maison,
ou
plus
exactement
les
volets,
les
forgets,
les
parements
de
pierre,
grilles
portails
etc...
Plus
de
six
semaines
avec
la
maison
totalement
ceinturée
d’échafaudages,
ce
qui
nous
a
cloué
sur
place.
C’est
fait,
il
y
en
a
pour
un
quart de siècle, la suite aux enfants.... !
Les
plantations
d’automne
sont
faites,
nous
pouvons
donc
nous
mettre
en
mode
hibernation.
Pour Babeth
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